va cherche quelque chose

Vladimir marchait d'un bon pas au hasard des rues. Quand il ne restait pa seul dans le noir, il se promenait, comme ça, sans but précis. C'était ça, sa vie, ne pas avoir de but, ne vivre qu'au jour le jour, sans rien espérer de plus que la vie elle-même.

Une présence se présenta à lui, sous une émotion assez banale de gens qui se trouvaient dans ce genre de rues. Tournant la tête vers l'unique personne à part lui, il remarqua que c'était une jeune fille, enfin, non, une jeune femme...enfin, il ne savait pas trop. Lui et les âges, ça faisait deux !

Il l'entendit parler d'utilité...Il était plutôt sceptique. Remarque, il faut de tout pour faire un monde ! Quand il se trouva plus près, il vit qu'elle ramassait des plantes et des champignons, et comprit mieux.

"Vous êtes bien la seule à trouver cela encore utile." dit-il calmement.

Aiko, après sa nuit passé au repaire, avait décidé d'aller marché un peu dans les rues. Elle était perdu dans ses pensées, comme c'était maintenant son habitude. Elle ne regardait pas où elle allait, laissant ses pas la guider. Aussi ne vit-elle pas la fille qui ramassait des champignons. Sans faire exprès, elle la bouscula, et la fille se retrouva par terre au milieu de ses champignons. Confuse, Aiko se retourna, et tendit sa main à la fille pour l'aider à se relever.

-Excusez-moi, je suis vraiment désolé... Laissez-moi vous aider à ramasser vos champignons.

Elle était étrange, il devait avouer, mais bon, qui ne l'était pas ? De plus, elle disait des choses tout à fait vraies et vérifiables, en qui personne ne croit par pure crainte.

Seulement, cet échange, déjà peut construit, tomba en lambeau quand une jeune femme arriva et renversa son interlocutrice. Il n'eut pas le temps de la rattraper, elle était déjà au sol, et l'autre faisait comme s'il n'existait pas. Comme beaucoup de gens, d'ailleurs. Il n'était plus qu'une ombre dans la rue, quelqu'un sur qui on ne pose plus le regard...Ah ! Mais pas le moment de déprimer pour des choses aussi futiles !

Il sentit quelque chose se frotter contre sa jambe. Baissant les yeux, il vit un chat, tout petit, qui ronronait. Le jeune homme se mit un genou à terre et gratta l'animal entre les oreilles. Un léger sourire apparut sur ses fines lèvres. Non pas qu'il se désintéresse des deux autres, mais seulement qu'il attendait qu'une d'elle daigne le faire. Rester muet et seul dans son coin, il savait faire...Même mieux que discuter avec des femmes ! XD

(désoler pour le temps sais la fin d'étape a l'école!!)

fubuki regarda la jeune fille et remarqua des larmes et elle dit

-pas besoin de pleuré pour sa...a moin biensur que se sois pour autre chose....

sa voix comme a sont habitude n'avias rien aucune ton! puit can elle finni de ramassé les champignions elle regardais les deux autres..deux anomalie alors qu'elle était humaine1? était elle en danger! elle l'était seulement si les anomalie ne croirais pas qu'elle était avec eux! sinon sont chat lui fesais passé se qu'elle pençais.elle préférerais parler au jeune hommes mais la il y avais eux un imprévut alors pendant quelque temps le chat resterais avec cette homme le temps que fubuki trouve quelque chose a dire au deux. Il fallais qu'elle sois très prudante!

t,en qu'au chat il ronronais et se lessais Graté puit il battie un peux des ailes et partie a voller pour se déposé sur l,épaule de homme et se froté un peux le visage contre celui la puit il miolla un peux. Il regarda quelque ainstant tout foi l'autre fille et sais yeux devainre jaune puit uk regarda fubuki avent que les yeux ne redevienne normal!

-myouuuu miaaaaooo!

Puit fubuki regarda la jeune fille et lui demanda

-pourquoi étiez vous si préssez?

[Je te pardonne, je comprends ^^]

Vladimir ressentait la mélancolie de la jeune fille. Une mélancolie que l'on ne ressent qu'en pensant à un mort. Car oui, il y avait plusieurs degrés de tristesse, et à son niveau, le jeune homme les distinguait presque toutes. Mais cela ne l'intrigua pas. On pouvait resentir cela à n'importe quel moment. Non, quelque chose lui fit froncer les soucrils un court instant. Cette méfiance et ce changement, comme une panique soudaine...Cette jeune fille leur cachait des choses. Qu'elle soit contre ou avec eux, c'était un danger potentiel, voire réel. Autant dire, un allé simple pour la prison si elle faisait partie des Traqueurs, comme la supposition pouvait le laisser prétendre.

Le chat alla se frotter contre son visage, et Vlad fit mine de n'avoir rien remarqué. Montrer sa vraie nature devant une personne dont on ne sait pas les desseims, c'était soi-même fermer la porte de sa cellule, soi-même creuser sa tombe. L'animal tourna la tête alors que le jeune homme passait sa main sur son cou. Il jeta un bref regard en direction du félin, et vit ses yeux changer de couleur à deux reprises en fixant la jeune fille. C'était un genre de détecteur...Aucun doute, rester là était dangereux. Il lui fallait partir, mais si la fille que l'animal avait pointée du regard était bien une anomalie, il ne devait pas l'abandonner. Même s'il ne la connaissait pas, au moins par solidarité. Cependant, il ne fallait pas qu'il s'affole. Son couteau devait toujours être dans son fourreau, sous la jambe de son pantalon, et il ne pensait pas que la petite femme aux cheveux de neige soit une menace si importante, mais il restait sur ses gardes, prêt à saisir sa compagne inconnue d'infortune et partir en courant.

Il suivit leur conversation, dicrètement, bien qu'elle ne soit pas intéressante et qu'il puisse capter le moindre de leur sentiement sans les fixer, ni leur être attentif.

On parlait d'oublier, et il comprenait ce que disait la jeune anomalie et approuvait en même temps ce que disait l'autre. Il ne savait pas trop où se mettre, cependant, et avait presque envie de partir, dans la mesure où il n'avait presque aucun intérêt à rester. Mais voilà que l'on s'adressait à lui, et qu'on lui repprochait en plus son silence.

Sa courtoisie naturelle l'empêchait de mal lui répondre, et puis, on nz parlait pas mal à une femme, quelle qu'elle soit.

"Je ne vois pas trop de quoi je pourrais vous parler. Mais il ne tient qu'à vous que je le fasse."

Il attendait une réponse, toujours à l'affût du moindre geste suspect. Il était méfiant, très méfiant, et avec les femmes plus que jamais.

Vlad eut un sourire ironique, voire carnassier.

"Me faire honneur d'un sujet de conversation qui m'intéresse ? Mais la conversation n'est pas ce que je préfère."

Elle ressentait de la peur. C'était pour cela qu'il jubilait intérieurement. Il ne s'était pas trompé et avait une raison valable de n'avoir aucune confiance en elle. Non pas qu'effrayer les gens lui plaisent, mais savoir qu'il avait une certaine autorité sur une personne classée chez les ennemis le satisfaisait au plus haut point.

Il se redressa de toute sa hauteur, dépassant de loin les deux jeunes femmes. Il se plaça derrière la jeune anomalie, fixant toujours d'un air dur la petite scientifique. Car elle venait d'avouer être dans l'autre camp. C'était dangereux de rester là. Trop dangereux.

L'éliminer ? Il avait autre chose en tête. Bien plus plaisant et moins salissant. Et puis, si elle devenait trop gênante, il s'en chargerait. Lui, et lui seul. Tuer ne lui plasait pas, mais réduire quelqu'un au silence, il savait faire. Même si torturer mentalement une personne le répugnait plus que toute autre chose, il n'aurait peut-être pas le choix.

Le jeune homme posa une main sur l'épaule de sa compagne d'infortune (Aiko) et lui se pencha pour lui murmurer à l'oreille afin qu'elle seule puisse entendre :

"Si je te dis de partir, ne cherche pas à comprendre et court le plus vite possible et va te cacher quelque part où on ne te trouvera pas."

Puis il la contourna et passa devant elle. Il toisa la jeune femme à la chevelure couleur de neige.

"Cela dépend de ce que vous tenterez de faire. Je n'aime pas être violent, et encore moins avec les femmes, mais si vous ne m'en laissez pas le choix, je ne verrais que ça !"

Il mentait. Bien entendu. Mais il mentait bien, là était son avantage.

fubuki arrêta aiko de parler en disant simplement sans émotion

-vous croyez se que vous voullez mais ceux qui chasse sont les traqueurs...alors si vous voullez combattre se serras plus votre choix que le mien... mais sacher que je n'est rien contre les anomalies...au contraire...mon chat en est un et je suis plus allier avec eux que le contraire...

fubuki ne voillais aucunement la raison de mentir de tout fasson sa ne la ménnerais nulpart! puit elle regarda l'homme et dit

se que je tente de faire est simple...survivre...

(désoler pas d'inspiration)

La petit anomalie semblait affolée, et Vladimir comprit que ça ne servait à rien de lui demander de faire quoi que ce soit, sous le coup de la panique, elle agirait à l'instinct, ce qui ne serait pas vraiment une bonne chose.

La scientifique se justifiait et semblait vouloir qu'ils lui fassent confiance. Mais Vlad n'avait presque confiance en personne, voilà le problème qui se posait.

"C'est ce que nous essayons tous de faire. Mais peu d'entre nous, les anomalies, y arrivont à cause des humains. Ne croyez pas que j'en veuille à tous les humains, mais laissez-moi douter de la sincérité de ceux qui nous étudient."

Indirectement, il lui disait qu'il ne la croyait pas. Il recula d'un pas vers Aiko.

"Je ne compte pas me battre, en aucune manière que ce soit. Mas laissez-moi garder une certaine distance..."

Fubuki tenta de faire un mince sourire mais sans succet et dit sans émotion

-votre menque de confihance est totalement justifier et cella ne me dérenge point que vous vous éloignez! Il est vrai que nous les scientifique étudions les anomalies...mais pas touts pour la même raison...certain pour aider les traqueurs...se n'est point mon cas...en échange d'un seul cheveux de leur par je les liberts de prison en me fesant passé pour un scientifique qui leur est allier...il est vrai que j'étudie les anomalies...mais pour plusieur raison...

la première, pour les anomalies qui désire devenir normal...pour qu,il puice le devenir...

la deuxième pour les humains qui désire devenir anomalie...qu'il puice le devenir

la troisième , trouver des moyens de guerrison pour tout les maladie inémaginable!

et la quatrimème...trouver une contre attaque au sisthème anti-pouvoir!

il y a d'autre raison mais ceux-là sont les premières!

Fubuki regarda l'homme droit dans les yeux et lui dit

-penceriez vous réelement qu'une scientifique qui vous haïrais marcherais dans les rue sans aucune (merde oublier commant sa s'apelle je les juste en Anglais le nom..."divice"...) machine a enlever les pouvoirs?

Puit Fubuki ne se raprocha pas au contraire elle leur fit dos et mit un pied en avant! comme pour commancer a s'an aller mais en fait elle se pencha et prit un autre champignion. et sont chat revain sur sont épaule et lui miolla quelque chose a l'oreille

Puit des murs proche de fubuki un autre anomalie apparru qui sortais des ombres (sais le seul de mes 6 anomalie qui me reste ces celui qui me vennais de Marik) et il avais une faux a la main et la donna a Fubuki..se dernier regarda longuement les deux autres anomalie et leur fit sourire en leur envoillant la main avent de disparêtre dans l'ombre a nouveau. fubuki ne se raprocha pas...car elle savais que Vlad ne lui fesais nullement comfiance et elle ne voullais pas l'énerver plus qui fallais! mais le chat lui courru pour aller le voir car il était tout content.

Vladimir ne supportait pas les gens qui se justifiaient. En fait, il n'aimait pas la conversation. Les seules personnes réussissant à lui arracher une discussion de dix minutes étaient heureux, les autres se contentaient de le surnommer "Mister Tchatch".

Dans son dos, ils sentaient à la fois une envie indécise et un désaroi profond. Non, il n'accordait sa confiance à personne. Ou presque. Même s'il venait en aide aux gens, jamais il n'était assez confiant pour leur dire quoique ce fût sur lui ou leur demander de l'aide. C'était ainsi sa vie et son malheur. S'il s'amusait à accorder une confiance totale à tous les gens qu'ils croisaient, il aurait été déjà mort depuis longtemps. Le temps passé dans la rue lui avait appris la solitude. C'était triste, mais il n'aimait pas non plus la compagnie des gens.

Il croisa les bras.

"Vous justifiez ne sert à rien, vous perdez votre temps et votre salive. Ma confiance, je ne l'accorde à personne. Pas même aux gens qui me sont les plus "proches"."

Le chat alla de nouveau vers lui, mais il ne fit rien. Il se sentait mal. Les scientifiques...il ne les supportait pas. Peut-être parce qu'il avait ouïe dire, il y avit de cela bien longtemps, que dans sa famille, ils l'étaient tous plus ou moins et qu'ils attendaient simplement le moment propice pour l'étudier, lui. Enfin, ce n'était qu'une simple rumeur sans importance en apparance, mais en fin de compte, peut-être pas tant que cela.

L'autre anomalie semblait confiante. Et puis, pourquoi s'en soucier ? Après tout, il ne la connaissait pas. Oui, mais il se sentait responsable d'une plus jeune que lui...Et puis zut ! C'était elle qui se mettait toute seule dans les ennuis. Il mit les mains dans ses poches, et alla s'installer contre le mur. Il s'y adossa et regarda d'un air indifférent l'autre bout de la rue.

"Mais je vous en prie, continuez votre conversation."

Il prêtait une oreille attentive à toute la conversation, mais sentait un manque de conviction profond de la part de la scientifique avec ce qu'elle disait. Comment le lui cacher, à lui, de toute façon ?

Comme il avait tourné la tête vers les deux jeunes femmes, il vit le sourire qui s'adressait à lui. Il le lui rendit imperceptiblement, d'un léger mouvement du coin de la lèvre. Sourire était l'une des choses avec lesquelles il n'était pas doué. Comme il lisait les émotions des autres, il n'aimait pas montré les siennes. Il se trouvait assez vulnérable sans qu'en plus, on puît lire sur son visage ce qu'il ressentait.

Le chat vint se poser sur son épaule et alors qu'il s'attendit à un miaullement, il eut droit à une mise en garde. Il reposa alors son regard sur la maîtresse du dôle de petite animal et fronça légèrement un sourcil. Il avait en effet sentit un intérêt assez varié pour lui, mais n'en avait pas encore saisi la nature. Au début, il avait cru que c'était le banal intérêt que beaucoup lui accordaient, mais comprit vite que ce n'était pas son genre et tenta de trouver la source de cet intérêt. Mais il avait encore du mal après cette mise en garde à trouver. Enfin, il savait désormais qu'il fallait qu'il reste sur ses gardes plus que de coutume.