Nom : Tsukuriwarai
Prénom : Oni
Surnom : Elle ne donne souvent que son nom de famille pour la désigner
Age : 17
Passé : Oni est née, enfant unique, dans une famille tout ce qui a de plus normal. Malheureusement, ses parents, qui espéraient avoir un garçons, furent déçu par elle mais le cachèrent bien sauf pour quelques commentaires acerbes. Peu importe ce qu’elle faisait, ce n’était jamais assez bien, critique, critique, critique c’est tout ce qu’elle recevait de ses parents.
Ils en finir même par la corrigé physiquement, la rouant de coup après chaque « échec » de sa part. Évidemment Oni devint un enfant prête à tout pour plaire, réservée, timide et défaitiste au plus haut point ce qui poussa les autres enfants de son âge à la ridiculisé et à la blesser encore plus.
Elle emmagasinait la haine et la rancœur au point de devenir « vide » et de ne plus ressentir aucune émotion sauf la douleur de ne jamais rien faire comme il faut. Le début de son adolescence fut l’enfer, la douleur devenait insoutenable, elle tombait en pièce à toujours chercher à plaire, cet à cette époque également qu’elle commença à entendre des espèce de bourdonnement lorsqu’elle se concentrait sur une personne.
Elle croyait qu’elle commençait à devenir folle, et la pression que ses parents ne cessaient d’ajouter n’aidait pas. Elle commença à se mutilé pour être sure qu’elle était bien vivante et pour tenté de dissipé le vide qu’elle sentait à l’intérieur d’elle. Mais plus le temps passait, plus les bourdonnements devenaient plus claire et les pupilles de ses yeux commencèrent pâlire.
Ses parents et elle allèrent consulté un médecin qui avoua ne rien y comprendre, il avança l’hypothèse qu’Oni devenait aveugle. Une autre brique venait de lui tomber dessus, elle ne voulait pas devenir aveugle. Mais elle trouvait étrange que malgré tout ça vue ne diminuait pas.
Un jour alors qu’elle était assise en classe, elle entendit sa voisine d’en arrière lire à voix haute, cela l’énerva un peu et elle se retourna pour lui dire de lire dans sa tête comme tout le monde. Elle ouvrit grand les yeux lorsqu’elle remarqua que sa voisine d’en arrière ne bougeait pas les lèvres et lisait déjà dans sa tête!
Elle entendait tout, absolument tout du texte et même quelques petits commentaires de la fille sur le texte! Elle se retourna, effrayée mais après quelques minutes elle ne put s’empêché de vérifier si tout cela était bien vrai, elle ce concentra sur le professeur et les bourdonnements recommencèrent jusqu’à ce qu’ils deviennent cohérents.
Elle commença à entraîner sa faculté et réalisa bien vite toute les possibilité de ce « don ». Ses yeux finir par se décolorés totalement et elle se mit à mettre un bandeau par dessus pour les cacher, prétextant être aveugle, cela lui permis également de développer ses autres sens.
Entre temps, elle découvrit également que son « don » ne se limitait pas seulement à la possibilité de lire dans les pensée mais également faire apparaître ,sous forme d’illusion, ce à quoi les autres pensaient.
Elle se garda bien de révélé à quiconque cette anomalie et poursuivi sa vie le plus normalement possible. Cependant, comme un niveau d’eau trop élevé, la haine et la rancœur qu’elle accumulait depuis toujours commençait à briser le barrage de ses émotions.
Un jour où son père la réprimandait à nouveau sous le regard approbateur de sa mère, elle ne pus contenir cette colère plus longtemps. Le coup que l’homme s’apprêtait à lui donner ne trouva jamais sa cible.
Oni se redressa et retira son bandeau en hurlant ‘Pourquoi!?!?! Pourquoi n’êtes vous jamais satisfait!?!?!?!’ Elle fouilla dans les pensés de ses parents et trouvèrent les pires craintes, les pires peur que leur conscience recelait et les fient apparaître devant eux.
Ses parents devinrent fou avant la fin de la nuit alors que dans un coin sombre de la salle, Oni, tenant ses jambes contres son torse, se balançait lentement d’avant vers l’arrière au rythme des hurlements de ceux qui l’avait mit au monde.
La seule chose qui la sortit de se névrose fut la lumière du jour levant frappant son visage. Elle cligna des yeux comme si elle sortait d’un torpeur qui avait durée une centaine d’années. Elle se leva et regardait ses parents qui gisaient sur le sol, murmurant des suppliques incohérentes.
Elle entendit quelqu’un frapper à la porte et hurler à travers la porte, c’était la police. Oni s’avança vers la fenêtre, l’ouvrit et regarda le lever du soleil. ‘Le début d’un autre jour….’ Dit elle à voix basse. Elle grimpa sur le rebord de la fenêtre, regardant le sol à 5 mètres d’elle. La police avait commencé à enfoncé la porte.
Lorsque enfin les policier parvinrent à entrer dans l’appartement, ils figèrent devant le spectacle qui s’offrait à eux. Par terre gisait deux adultes, convulsé de spasmes de terreur et sur le rebord de la fenêtre, ce tenait une adolescente.
Oni se retourna vers les hommes en uniformes ses yeux livides les regardant à tour de rôle. Les policiers ne purent rien faire, figer d’horreur, ils ne purent que regarder l’adolescente sauter par la fenêtre.
Personne ne sut se qui arriva à Oni par après, ses parents furent incarcéré dans un asile psychiatrique où ils résident toujours à ce jour. Quand à Oni, elle déambulait sans but bien précis.
Caractère : Elle est égoïste, cruel, sadique, insensible et surtout, surtout manipulatrice. Elle ne partira jamais de combat d’elle même, préférant manipuler les gens pour éviter de se salire les mains. Elle est très charismatique et déteste mentire, c’est pour cela qu’elle ne dit que des demi-vérités ou que ses phrases on plusieurs sens cacher. Elle est également imprévisible car parfois, elle gentille avec les gens sans aucune raison et parfois c’est le contraire, elle est très cruel avec eux. Elle parle souvent de façon doucereuse, raillarde et sarcastique. Elle adore cité des proverbes, de grands écrivains et de poème pour confondre les gens.
Physique : Elle a des cheveux mauve-lilas très long qui descendent un peu plus bas que ses genoux, l’iris de ses yeux sont platines et ses pupilles sont rectangulaires. Son teint de peau est pâle et elle porte un tatou dans le front que seul elle sait ce qu’il signifie. Ses vêtements son composés d’une robe courte et serré une pièce, de gants qui partent de la main et qui arrêtent un peu avant l’épaules et de longues bottes souples. Elle porte aussi un épais collier de cuir au coup et un bandeau de cuire devant les yeux.
Il aime : Manipuler les autres, voir les autres se débattrent pour quelque chose et ne pas l’obtenir, lire des livres de grands écrivains (ses préférés étant les romans du Marquis de Sade), voir les autres se morfondre, confondre et troubler les gens, la musique ect….
Il déteste : Être dérangée pendant sa lecture ou pendant qu’elle écoute de la musique. Ceux qui croient que leur passer est terrible et qui se plaint pour rien, les pleurnichards, ceux qui se prennent pour des héros, ceux qui disent le comprendre et ressentir sa douleur et les gens en général
Autre: Elle se promène avec des chaines ayant des manches au bout pour s'en servire comme "arme". Quand elle ne s'en serre pas elle les enroules autour de ses bras ce qui fait un bruit caractéristique de frottement de chaîne quand elle marche
Pouvoir ( Il faut que le pouvoir soit validé ! ) : Bon-Illusion-
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Mar 11 Juil - 18:47
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